majandra katherine johnson
kaya scodelarioC'est le cinq aout milles cinq-cent quarante deux. à londres, que j'ai vu le jour la première fois, j'ai actuellement quatre-cent soixante dix ans. Je suis célibataire. Il faut que j'occupe mon temps, pour ça je suis sans emploie. Tout le monde est unique, moi je suis A crocs de sang.Connaissez-vous l'existence du surnaturel ? Si oui depuis combien de temps ?
Depuis exactement 470 ans, j'ai découvert ça en devenant moi même l'une de ces créatures magiques, étranges et pleines de mystères alors que mon monde était bercés d'illusion en tout genre et que je me voyais presque dans une sorte de monde des bisounours. Et étrangement je n'en suis pas effrayé loin de là, à offre d'autre perceptive à la vie que je ne soupçonné pas.
Avez-vous déjà tué une personne ? Si oui, volontairement ou pas ?
La première s'appelait Laurène Thomas une grande rousse prétentieuse qui avait l'habitude de prendre de haut tout les autres. Le plaisir jouissif de planté mes crocs dans sa gorge fut un bonheur intense. Je pouvais encore lire dans les yeux la terreur et la peur, je crois que c'est grâce à cette fille qui as passé toute sa vie à me pourrir la vie que j'ai autant adoré ça. Après ce fut comme un enchainement, une, deux, trois et le massacre de Rome avant de continuer sans m'arrêter.
Selon vous, quel est votre caractère ?
Majandra est un mélange de cruauté, de folie, de mensonge et de curiosité. Une gamine curieuse de la vie, voulant tout voir, tout découvrir, tout toucher et faire en sorte que tout aille bien dans sa vie puis sa vie c'est transformé en un immense mensonge le jour ou sa sœur la transforma, la haine la gagna, l’égoïste, la trahison malgré sa fidélité envers sa famille, elle reste quelqu'un de déterminée, de sure d'elle et de surprenant.
C'est l'histoire de ma vie !
Angleterre – 1558Dans l’un des plus beaux châteaux du pays, de la fenêtre de la plus haute tour du château se trouve une jeune femme, une allure de princesse dans une somptueuse robe couleur nuit. Ces cheveux noirs tombant sur ces hanches de façon délicate et parfaite, ces yeux noirs fixant l’horizon avec une certaines délectation. Ces deux mains déposaient sur l’appui de la tour, cherchant une sorte de réponse dans l’horizon. Ce soir un grand bal avait lieu, un de plus, ce qui ennuyé profondément la jeune demoiselle. Elle détestait depuis toujours ces soirées mondaine, ou tous les gens se trouvaient là pour se faire bien voir, elle avait déjà en horreur la soirée avant même d’être sorti de sa chambre. Un grand bal à lieu ce soir, le genre d’événement que toutes les jeunes femmes du pays ne souhaitent absolument pas raté. Tous les plus beaux partis d’Angleterre s’y trouverons à la quête d’une femme pouvant comblé leurs désirs encore secret. A l’époque, les dires ou les esprits frivoles non pas leur place. Pour être accepté, il faut être bon sous toutes coutumes. Belle et intelligente, sans l’être trop. Connaissant sa place dans le monde, savoir être une bonne femme au foyer et être à la hauteur de son mari. Cette soirée se déroula dans un immense jardin, décoré pour l’occasion, les gens les plus prestigieux ayant déjà reçu leur invitation. Mais une présence est attendu ce soir, il s’agit d’une des femmes les plus belles et importantes de l’Angleterre. La famille Johnson et ces trois filles y était attendu. Majandra est tout ce qu’une femme doit être, elle est d’une beauté et d’une grâce incomparable, elle parle plusieurs langues, lit et sait écrire. Elle est brillante et c’est tout à fait se tenir en société. Elle est à elle seule, la convoitise de bien des hommes. Mais Majandra reste une jeune femme comme beaucoup, rêvant un jour de décrocher le grand amour. Naître dans les plus grandes familles impose des règles. [color=orange]« Majandra veut tu descendre » elle soupira « Cela passera vite, très vite » elle descendit l’escalier avec grâce et délicatesse comme à chaque fois. Elle croisa le regard des deux personnes qu’elle tenait le plus au monde la beauté ravageuse de sa sœur Calliopé et le regard parfait de Katherine.
« Sourit un peu et vient ici Majandra … Lord Nicolas voici ma fille Majandra » il tourna autour d’elle comme un vautour puis ajouta
« Elle est parfaite » ce soir-là, elle se trouva forcée … fiancée.
Angleterre – 1562La nuit battait son pleins, quatre ans, quatre ans que Majandra repoussé ce mariage cherchant toujours une excuse, c’était quatre ans d’enfer, collé aux bras d’un homme qu’elle détestait plus que tout au monde, superficiel et sans grand intérêt. Lord Nicolas était si vieux qu’il aurait pu être son père, elle détestait la simple idée qu’il puisse poser ses mains sur elles, c’était un enfer de devoir marcher à ses côtés. Majandra cherché des solutions qu’elles ne trouvaient pas, elle était comme coincé dans ce mariage sans pouvoir changer le futur. Elle était désormais seule face à cela, sa sœur, la seule personne qui aurait pu changer quelques choses pour elle, celle qui lui donnait le courage de se battre était morte, dans des circonstances si flou qu’elles en étaient indescriptibles. Le cœur brisé elle tentait de garder ce stupide sourire du au protocole qu’elle détestait plus que ce Nicolas. La neige tombait ce soir-là, Majandra regardait ce spectacle avec espoir ; pour la première fois de sa vie, elle pleurait, et priait, elle cherchait une réponse dans les paroles de dieu
« Je vous en prie, aidez-moi et rendez la moi … » elle désignait sa sœur, elle en avait besoin plus que personne ce soir, elle se coucha une boule au ventre, les yeux si rouges qu’on aurait pu croire qu’elle avait pleuré pendant des heures sans s’arrêter. Elle ferma les yeux et s’endormit … Cela ressembla à l’enfer, elle senti son corps se raidir pendant quelques secondes, elle fixa le regard qui se présenter à elle, c’était Calliopé entre plus belle que jamais, elle eut envie de crier c’était impossible, elle ne pouvait pas être la
« Calli … » murmura-t-elle avant de tendre son bras vers son visage, le doux murmure de sa voix lui parvint à ces oreilles
« N’ai pas peur » tout s’enchaina, elle senti un gout sucré se déposait sur ces lèvres, c’était du sang, du sang elle la forçait à l’avaler, son cœur s’emballa, elle senti que rien n’irait comme avant, elle avait mal et tout s’arrêta un immense vide noir arriva, elle était morte…
Italie – 1856Devant la célèbre fontaine de Trèvis se trouve une jeune femme, Majandra encore plus belle qu’auparavant. Elle porte une robe blanche, couvrant ces formes magnifiquement, sa peau pale et ses cheveux aussi sombre qu’un corbeau, ses lèvres d’un rouge très intense. Le tableau ressemblait à l’un des plus beau moment que le monde offrait, les gens marchaient autour d’elle, innocemment lui portant parfois des regards à la fois tendre et bons, elle ne bougeait pas pensant à ce qui allait se passer un peu plus tard, elle était d’humeur massacrante, la fureur la gagnait, une grande fête avait lui ce soir et encore une fois sa minorité l’empêcher de s’y amuser pleinement et pourtant elle avait déjà deux cents quatre-vingt-quatre ans. Elle décrivait avec une grande attention les détails à l’homme qui se trouvait en face d’elle, c’était César Léonais l’un des plus célèbres écrivains et journaliste de la période, elle se trouvait chez elle désormais, lui racontant ce qui c’était passé cette nuit-là, il semblait captivé s’intéressant aux vampires depuis si longtemps. Il écrivait totalement épris par sa beauté et avalant ces paroles
« Je m’ennuyais, je voulais absolument m’amuser, ils ne voulaient pas … je l’ai ai tué, un par un, aspirant leur vie et leur bonheur, je ressentais leur peur avec le sourire, c’était fun … J’ai tué 46 adolescents ce soir la … c’était un plaisir » il semblait à la fois choqué et fascinait par son regard. Elle lui laissa quelques secondes, puis d’un geste vif lui arracha le cœur et le laissa pour mort.
De nos joursMajandra à continuer de parcourir le monde, allant de ville à ville découvrant les gens s'amusant à massacrer tout ce qui se trouvait sur son chemin sans le moindre scrupule. Elle pose ses bagages dans une petite ville, Mystic Fall. Elle cherche un nouveau départ, un peu d'action, elle s'ennuie et elle risque de faire des ravages.
NEW YORKAISE
Je serais là tout les jours je vous promets, le reste c'est un secret