Edward Riley Calloway

Hayden Christensen
C'est le 14 Fevrier 1919 à Seattle, que j'ai vu le jour la première fois, j'ai actuellement 20 ans en apparence, et 93 longue années en tout. Je suis célibataire. Il faut que j'occupe mon temps, pour ça je suis étudiantoumétier. Tout le monde est unique, moi je suis A Crocs du sang.



Comment ne pas la connaitre. Je l'ai connu à l’âge de mes vingt-ans. Mon cœur avait craqué pour cette fille si discrète, mais magnifiquement belle. Elle s'amusait avec moi, comme on s'amuse avec une marionnette, j'étais son jouet et elle aimait ça. Malheureusement pour elle, elle se prit d'attachement pour moi et elle a décidé de me transformer. C'est à ce moment-là que ma vie c'est arrêter. Je n'avais que vingt ans et j'étais déjà mort, enfin d'une certaine manière. Le jour suivant je me suis réveillé en vampire. Oui vous avez bien entendu, je suis un monstre sanguinaire qui répond à l’appel du sang.

Si j’ai tué des personnes ? Mon dieu, des centaines, voire plus encore. J’ai eu beaucoup de mal à me contrôler. L’appel du sang était plus fort que moi. J'ai même tué certaines personnes de mon entourage. Je ne pouvais plus m'arreter. Puis petit à petit, j’ai commencé à gouter de nouveau régime. Le régime végétarien, du sang d’animaux, n’était pas fait pour moi alors je me contente de boire du sang qui provient des hôpitaux. Dès que j’arrive en ville, j’essaye de me mettre une ou deux personnes travaillent dans les hôpitaux dans la poche. Je ne sais pas comment font les vampires végétariens. L’odeur du sang animal est immonde, écœurent…

Mon caractère a changé depuis mon ancienne vie. Je me suis rendurcit au fil des années, j’ai appris à me méfier des gens qui m’entourent. Je suis devenu très observateur et manipulateur. Je n’aime pas qu’on me la fasse à l’envers. On peut dire que je suis mauvais joueur et rancunier. Avec les filles, c’est légèrement différent. J’ai été trahie un jour, maintenant je fais gaffe. J’essaye d’avoir toujours un coup d’avance. J’aime jouer avec elles, même si je le regrette quelque fois. Avant je n’aurais jamais fait ça, mais quand l’éternité est devant vous, pourquoi ne pas s’amuser. Avec certaine jeune femme, je me sens obliger de les protéger. Je ne peux l’expliquer, c’est certainement par rapport à ma sœur. Mon humanité est toujours présent, la près de mon cœur déchirer.

C'est l'histoire de ma vie !

Je suis né le jour de la St-Valentin, un an après la première guerre mondial. Mes parents, deux villageois ordinaires étaient heureux d'accueillir un enfant dans leur famille comme cadeau de saint valentin. Pour eux, mon destin était tracé, j’allais devenir un don juan. Pourquoi ne pas me faire marier avec une femme d’importance pour remonter leur centre social ? J’ai vite compris que je n’étais presque rien pour eux. J’étais juste celui qui devait marcher sur leur trace de son père. Obéir et exécuter les ordres, c’est tout ce que je devais faire. Deux ans après ma naissance, ma sœur est venue au monde. Elle était si douce, si attachante. C’était mon ange et personne ne pouvait lui faire du mal. Les années passaient et je grandissais. Mon père m’obligeait à travailler comme un malade, mais moi je voulais profiter de la vie. Je n’avais qu’une envie, partir vivre loin d’eux. J’aurais pu le faire si je n’avais pas quelqu’un qui me retenait. Je ne voulais pas quitter ma sœur, je n’aurais jamais pu lui faire une chose pareille. A mes dix-huit ans, mes parents pensaient déjà au mariage. Je ne voulais pas être obligé de me marier juste pour rendre heureux mes parents alors j’ai demandé à ma sœur si elle voulait me suivre. Au début elle ne comprenait pas, elle pensait que c’était une blague, que je ne voulais pas réellement partir. Mais quand elle me vit faire mes valises en cachette elle se mit à pleurer. « Ne part pas Edward, je t’en prie. Je ne veux pas rester toute seule ici. » Je la pris dans mes bras et posa ma tête contre la sienne. « Le seul moyen pour que l’on reste ensemble, c’est que tu viennes avec moi. Serais-tu prête pour cela ? » J’espérais du fond de mon cœur qu’elle dise oui, et ce fut le cas. Le soir même nous nous sommes sauvés de chez nous pour partir loin vers l’inconnue.

Deux ans après, nous étions loin de la maison. Nous avions commencé une nouvelle vie, ma sœur et moi. Rien ne pouvait nous séparer. Certaines personnes parlaient d’une guerre qui commençait en Europe, mais je m’en fichais. Tout ce qui comptait, c’était de profiter de la vie. Nous avions un petit appartement, petit mais pas cher. Je travaillais comme mécanicien, la seule chose que je savais faire. Grace à ce travaille, je rencontrais du monde. On m’invitait à des soirées un peu trop alcoolisé. Je rentrais tard le soir et je voyais que ma sœur découchait. Dès qu’elle rentrait je lui faisais la morale, lui disant qu’elle ne devait pas sortir tard le soir. Que la rue à la nuit tombée n’était pas sûre. Dans ces moments-là je trouvais que je ressemblais trop à mon père, c’est surement pour ça qu’elle était repartie sans un mot et en claquent la porte. Je la suivais en lui disant de rentrer, mais elle courait déjà. Le temps de la rejoindre, je l’avais perdu des yeux. Toute la nuit, je m’étais mis à sa recherche. Je parcourais chaque rue, chaque jardin, mais je ne la retrouvais pas. Dans mon cœur je regrettais mes propos, je ne voulais pas qu’il lui arrive quelque chose. Je continuais mes recherches quand j’entendis des cris. Il provenait de la ruelle d’en face. Cette voix m’était trop familière, mon cœur battait à la chamade. Je me rendis dans la ruelle à toute vitesse et je vis ces deux hommes près d’une silhouette féminine… sa sœur. Je n’étais plus dans mon état normal quand je les ai vu jouent à faire peur ma propre sœur. Je n’avais envie que de les tabasser pour qu’il la laisse tranquille. Aussitôt dit, aussitôt fait. Je m’étais jeter sur l’un deux sans m’en rendre compte. Les coups de poings suivaient, de plus en plus fort. Je ne pouvais plus m’arrêter, ma colère avait pris le dessus. J’entendais ma sœur me dire d’arrêter, qu’il avait eu leur compte, mais je ne pouvais pas. Elle avait dû crier mon nom pour que je m’arrête. Les deux hommes étaient à terre, j’enlevais ma veste que je mis sur les épaules de ma sœur. Je la pris dans mes bras et elle tomba en sanglot. Nous nous dirigeâmes vers la rue quand je vis une femme nous regarder. Elle n’était pas horrifier comme l’aurait été un témoin de cette scène, non elle souriait. Un sourire que je gardais en mémoire.

Le lendemain, je partis au travail. Je ne voulais pas reparler de ce qui était arrivé la nuit dernière. Je ne repensais qu’à cette jeune femme me fixant en souriant. Qui était-elle ? Je le su plus vite que prévue. Elle me rendit visite alors que j’étais sous une voiture d’un client. Elle frappa sur la carrosserie et je glissais pour voir qui c’était. Quand nos regards se sont croisés… Elle était tellement magnifique. Ses cheveux en cascade, sa bouche en forme de cerise. Elle souriait toujours et moi j'étais figé. Après quelque instant de silence, je me suis levé pour me présenter. « Edward Riley Calloway, et vous ? » Elle tendit la main et se présenta sous le nom de Miss Robertson. Je lui baisai la main sans la quitter des yeux. J'étais comme fasciné par sa beauté. Elle me félicita pour mon combat de la nuit dernière, mais je ne lui répondis pas. Je ne comprenais pas pourquoi ça la réjouissait autant. Elle ressemblait à une jeune femme douce, pourquoi aimait-elle la violence ?! Puis elle continua son discours tout en s’approchant de moi. « Vous m’avez fasciné hier soir. Vous battre pour sauver cette pauvre fille ! Vous devez bien la connaitre pour vous être mis dans cet état...» Je m’apprêtais à lui répondre quand elle posa son doigt sur ma bouche pour me faire taire. « Chut ne dites rien monsieur Calloway, je sais qui elle est. Mais ce n’est pas d’elle dont je m’intéresse, mais de vous. » Elle approcha son visage du mien et sentit mon cou. Je me demandais ce qui lui prenait, mais je ne bougeais pas. « Mmmh votre odeur est exquise. Vous me plaisez vraiment vous savez ? Quel dommage de gâcher un tel bijoux... pour une faim. » Je n'avais pas entendu ses derniers mots. Elle me fixait droit dans les yeux à présent, ses mains me caressent le visage, je n'avais envie que d'une chose... L'embrasser. Je pris sa tête entre mes mains et l'embrassai langoureusement. Elle ne se retira pas, au contraire. Nous devions ressembler à deux fauves. Je sentais qu'elle avait une force, presque surhumaine. Je l’interrompis pour fermer le garage. Puis nous continuons à nous embrasser sauvagement pour finir sur la table de la réserve. Je ne la connaissais pas, mais rien qu'au premier coup d'œil, je l'aimais.

L'après-midi, je me suis réveillé sur le sol, elle était devant, en train de s'habiller. J'ai voulu me lever, mais elle me dit de faire attention à mon cou. Je ne comprenais pas, je n'avais pas les idées claires alors j'ai passé ma main sur mon cou. Je saignais ! Je lui demandais comment je mettais fait ça et elle s'est excusée. Elle évitait mon regard, mais je levais pour la regarder en face. Elle était différente. Elle ressemblait à... un vampire. Au lieu d'avoir peur d'elle, j'étais fasciné. Je lui caressais la joue, puis ses lèvres. Même comme ça elle était magnifique. Elle baissa les yeux comme si elle avait honte. O.K. elle m'avait mordu, mais j'étais toujours vivant. Je l'embrassais à nouveau et je senti le gout du sang dans sa bouche, mais aussi dans la mienne. Une fois encore, je ne comprenais pas. Je retouchais mon cou, mais je ne sentis que du sang, je n'avais pas de blessure. Miss Robertson vit que j'étais perdu dans mes penser alors elle me raconta qu'elle m'avait donné de sa sang pour guérir la blessure. « Vais-je me transformer ? » Elle rit d'un rire léger et très féminin. « Non pour cela il vous faut boire du sang de vampire et se donner la mort aussitôt...» Son sourire me plaisait tellement. Je voulais devenir éternel, juste pour rester auprès d'elle. Je lui en fis par. Elle hésita et me dit délicatement au creux de l'oreille. « Si tel est ton choix. » Elle me redonna de son sang, en se mordant le bras. L'odeur me dégoûtait à la première gorgée, mais le gout commençait à me plaire. J'eu le temps de fermer les yeux avant qu'elle me tue. Je ne pensais à rien. Mon cœur ralentit jusqu'à s'arrêter définitivement. Ça y est, j'étais mort.

« Edward... Edward oú es-tu... » Cette voix m'étais familière, mais je ne pouvais lui répondre. J'étais allongé sur le sol. Ma mémoire me revenait petit à petit. Mes yeux fermés, ma respiration coupée, je ne pouvais pas bouger. La voix familière se rapprochait de plus en plus. Ma sœur allait bientôt me voir mort sur le sol de mon garage. Comment était-elle rentrée ? J'avais fermé le garage. « Oh mon dieu... Éd... NOON. » Ma sœur tomba en sanglot à mes côtés. Elle devait penser que j'étais mort, ce qui était le cas d'une certaine façon. Elle pleurait et me suppliait de revenir, de ne pas la laissé seule. J'essayais d'ouvrir les yeux, mais rien ne se passait. Elle posa sa tête contre mon torse. L'odeur de son sang frais, coulant dans ses veines, me réveilla en sursaut. Je respirais à plein poumon maintenant. J'avais l'impression d'être resté en apnée pendant des heures. Je la regarde timidement avant qu'elle se jette à mon, le sourire aux lèvres. Elle ne savait pas ce que j'avais fait quelque heure auparavant. Elle ne savait que j'avais demandé l'éternité à un vampire. Tout à coup, ma gorge me fit comprendre que j'avais faim. Après avoir pris ma sœur dans les bras une bonne minute, je me levais. J'étais exactement le même, voir un peu plus beau. Ma sœur me demandait ce qui m'était arrivé alors je lui ai raconté un mensonge. Je ne voulais pas qu'elle est peur de moi. Jamais je ne lui ferais de mal. Puis je lui dis que j'avais une faim de loup. Elle rigola et me dit qu'elle allait chercher la voiture. En l'attendant, je remarquai qu'il y avait une lettre sur le coin de mon établi. Je l'ouvris pour voir de quoi sa parlait. Ce message venait de Miss Robertson. Elle me donna quelque conseil pour mon éternité avenir. La première phrase me disait de boire du sang humain dès mon réveil. Si je ne le faisais pas, si je refusais de boire du sang, j'allais tout bonnement mourir. Puis elle me parlait des plantes qui pourraient me blesser, comme je pouvais être tué. Ça m'a surpris quand elle m'a marqué qu'une morsure de loup-garou pouvait tuer un vampire. Quand ma soeur est revenue, j'avais encore la feuille dans les mains. Elle me demanda ce que c'était et je lui répondis que ce n'était rien. Son odeur me montait à la narine. Jamais je ne lui ferais du mal me rappelais-je. Jamais. J'ai dû me retenir tout le long du repas pour ne pas craquer. La nourriture n'avait pas le même gout, elle n'apaisa pas ma faim. Après le repas, je pris le prétexte d’aller voir une amie pour aller à l’hôpital. Je ne sais pas comment j’ai fait, mais toute les personnes à qui je parlais obéissaient à mes ordres. Une infirmière me donna des poches de sang comme je lui avait demandé, mais ça non plus, ça ne me suffisait pas. J’ai donc pris de son sang à elle. Quel délice tout de même. Tout à coup, mes yeux me brûlèrent, ma gencive aussi. Mes dents se transformaient en crocs, mes yeux se noircirent. J'étais devenue un vampire.

Les jours qui suivaient, je ne pouvais pas sortir de ma maison, le soleil me brulait. Je fis semblent d’être malade pour que ma sœur laisse les rideaux fermer. Dès qu’elle s’approchait de moi, je devais me retenir pour ne pas lui sauter dessus. Je devais partir loin d’elle pour ne pas lui faire de mal. Mais comment lui expliquer. Un jour une lettre est arrivée à mon nom, ma sœur allait l’ouvrir quand j’ai reconnu l’écriture qui se trouvait sur l’enveloppe. C’était de la part de Miss Robertson. Je me suis déplacé le plus vite possible pour que ma sœur ne voit pas le contenue. Heureusement pour moi elle n’avait pas vu que j’étais ultra rapide. Je me suis dirigé vers ma chambre et ouvrit l’enveloppe. A l’intérieur un petit mot et une chaine en argent. Je lis le petit mot qui me disait qu’avec cette chaine, je pourrais sortir en plein jour. Je la mise autour de mon cou et ouvrit délicatement le rideau. Elle disait vraie. Au dos du papier, une adresse. Je pris mes affaires et je me suis rendu à l’adresse indiqué. En arrivant à la porte, elle m'ouvrit aussitôt. Je n'ai pas pu m'empêcher de l'embrasser. Pourquoi était-elle partit en me laissant seul. « Vous m'avez terriblement manquer ma chère. Je pensais vous voir à mon réveil. » dis-je après ce long baiser. Elle m’attira vers le canapé et détacha les boutons de ma chemise. « En tout cas, je vous remercie pour ce magnifique cadeau. » Elle sourit et m’embrassa fougueusement. Une heure après avoir fait trembler les meubles, je lui expliquais mon problème. Je devais partir pour ne pas faire de mal à ma sœur. Chaque jour que je passais à ses côtés était une torture. Elle me proposa de partir avec elle, voyager sans avoir un lieu présie où aller. J'ai accepté et je suis partie du jour au lendemain en laissant un simple mot à ma soeur.

Ma soeur que j'ai tant aimé.

Si je suis partie, c'est pour ton bien. Je sais que tu ne comprends pas pourquoi, mais je ne peux te le dire. Sache juste que je t'aime et que je garderais toujours un oeil sur toi. Vie ta vie comme tu en as revé. Oublie toutes nos vieilles disputes et retiens dans ta mémoire, l'amour que je t'ai apporté.
Adieu ma soeur, ton frère qui t'aime.

Aujourd'hui, beaucoup de chose ont changé. Quelques années après mon départ avec Miss Robertson, nous avons été attaqués par des chasseurs de vampire. Je suis le seul à être encore vivant, même les chasseurs sont morts. Ils ont tué celle que j'aimais et je leurs ai fait payer du mieux que je le pouvais. Ensuite je suis repartit à la recherche de ma soeur qui avait fondé une belle famille. Elle m'a aperçu quelque fois et elle souriait. Je ne sais pas si elle m'en voulait toujours. Je suis resté près d'elle jusqu'à sa mort. Puis je suis reparti voyager. Je passais de village à village. J'essayais de ne pas trop me faire remarquer. Puis je repartais voir les descendants de ma soeur. Les membres de ma famille qui ne connaissait même pas mon existence. Je les voyais grandirent, puis les voir mourir. L'éternité seul est difficile à supporter alors je passais mon temps à jouer, à draguer. Quelque fois je me battais, juste pour le plaisir. J'ai rencontré d'autre être surnaturel durant mon voyage. Et maintenant je vis ici, à Mystic Falls. D'après quelque source, cette ville est remplit de surnaturel, alors quand l'arriere petite fille de ma soeur à emmenager ici, je me suis senti obliger de la proteger.
Voila, c'est ça mon histoire.

Je m'appelle Caroline et je suis agée de 15 ans. J'ai connu le forum sur msn en regardant la phrase perso de Toxic Glam xD Je serais en moyenne connecter 3 fois par semaine.