Aaliyah ♡ « and even when your hope is gone, move along, move along just to make it through. »

aaliyah olympe keller

Dianna Agron
C'est le 04 août 1994 à Miami, que j'ai vu le jour la première fois, j'ai actuellement 18 ans. Je suis célibataire. Il faut que j'occupe mon temps, pour ça je suis lycéenne. Tout le monde est unique, moi je suis servante de la nature.

Connaissez-vous l'existence du surnaturel ? Si oui depuis combien de temps ?

Je connais l’existence de la magie depuis l’âge de 6 ans, en effet alors que nous étions prêtes à prendre le métro, ma mère et moi nous firent attaquer par des vampires. A l’époque je n’avais pas la moindre idée de l’existence d’un monde surnaturel, ma mère préférant de préserver de tout ça. Pourtant, lorsque je vis ces deux êtres aux visages terrifiants s’en prendre à elle, l’un plantant ses crocs dans sa gorge et l’autre lui arracher le cœur, je compris que ces deux hommes n’étaient pas des êtres vivants. J’ai beaucoup de chance d’être encore en vie après avoir croisé leur chemin, j’étais terrorisée et tout en criant et pleurer j’étais parvenue à leur créer une énorme migraine les faisant fuir avant qu’ils ne s’en prennent à moi. Pour beaucoup, ma mère est morte de façon inexpliquée; un meurtre non élucidé mais contrairement à tous, je sais exactement ce qu’il lui est arrivé. En grandissant, j’ai fais des recherches sur les êtres surnaturels, sur les vampires et les sorcières avant de découvrir dans le grenier, le grimoire de mes descendants. Depuis je me suis investie dans la magie, désirant devenir une sorcière puissante afin de venger la mort de ma mère.

Avez-vous déjà tué une personne ? Si oui, volontairement ou pas ?

Je n’ai jamais tué personne, au contraire je me suis promise de protéger les innocents d’être malveillants comme les vampires. Bien sur, je sais qu’ils ne sont pas tous mauvais, j’ai déjà fais la rencontre de vampires qui sont parvenus à me faire ouvrir les yeux. Pourtant lorsque j’entends parler certaines personnes de meurtres inexpliqués, d’attaques animales je ne peux m’empêchée de vouloir réduire à néant les vampires responsables de tout ça, de leur planter un pieu en plein cœur afin de protéger la ville et ses habitants. Si je ne l’ai jamais fais, c’est seulement parce que je ne suis pas encore tombée sur l’un d’entre eux mais une chose est sure; le jour où ils croiseront mon chemin, je n’aurai aucun remords à les tuer comme ils l’ont fait pour ma mère. Certains vont dire que je ne fais ceci que par esprit de vengeance, certes ils n’ont pas tord mais je sais aussi que si je fais tout ça, c’est pour qu’aucuns enfants ne voient sa mère mourir devant leurs yeux comme cela a pus être mon cas.

Selon vous, quel est votre caractère ?

J'ai un caractère bien trempée, en effet, mieux vaut ne pas trop me provoquer car si quelqu’un me cherche un peu trop, je sais vite y mettre un terme. Cependant lorsque l’on apprend à mieux me connaitre, on voit très vite que je suis une jeune femme très douce, qui aime profiter de la vie, comprenant très vite que celle était trop courte pour être gâchée. Je suis assez compréhensive et à l’écoute des autres, les aidants du mieux que je le peux lorsqu’ils ont besoin de conseils ou tout simplement d’une oreille attentive. Affichant toujours un large sourire sur le visage; me montrant très souriante, je cache parfaitement mes émotions, ne faisant jamais paraitre le moindre signe de tristesse ou de désarroi. J'ai une vraie joie de vivre d'après mes proches, sans doute due à son côté décontracté, détestant devoir me prendre la tête pour des futilités. Bien entendu, je suis loin d'être parfaite et comme tout le monde, j'ai des défauts; l’un de mes défauts prédominant est la franchise : détestant l’hypocrisie, je vous dirai toujours devant ce que je pense de vous, que cela soit plaisant à entendre ou pas ! Cependant le plus gros défaut que l'on peut me trouver, c’est mon impatience; en effet je dois être la personne la plus impatiente du monde et cela depuis ma plus tendre enfance. Débordante d’énergie, je suis toujours décontractée dans n’importe qu’elle situation, essayant de garder mon calme le plus longtemps possible afin de ne pas m’énerver sauf en cas de nécessité. Profitant de la vie, croquant celle-ci à pleine dent, vous me verrez toujours sous mon meilleur jour même dans les moments difficiles, n’aimant pas montrer mes faiblesses. Pour finir, on peut ajouter, que je vis au jour le jour, ne voulant pas me poser de questions.

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Kathleen / Katalix

Je vais vous épargner les longs pavais sur ma vie ^^ . J'ai vingt ans et je suis actuellement étudiante infirmière; en temps normal j'arrive à me connecter 5 jours par semaine au soir et à répondre à mes sujets mais lorsque je serai en stage, cela sera un peu plus compliqué avec mes horaires. J'ai connu votre forum grâce à Bazzart et je suis tombée littéralement sous le charme ♥.

Dernière édition par Aaliyah O. Keller le Ven 24 Fév - 12:33, édité 6 fois

C'est l'histoire de ma vie !

CHAPTER ONE : C'est une fille

Neuf mois que mes parents attendaient cet événement avec une joie immense et une impatience infime, la naissance de leur premier et unique enfant : ma naissance… Tout était prêt pour mon arrivée, chaque détails avaient été soignés : une chambre aux couleurs méditerranéennes, remplis de peluches et d’objets en tout genre avec au centre un berceau blanc.. La penderie contenait des vêtements de petite fille de tout âge, vêtements offerts à mes parents par nos proches et amis. C’est simple il ne manqué plus qu’une chose pour combler toute cette agitation ; que je pointe le bout de mon nez et vite. Le dernier mois de grossesse fut le plus pénible pour ma mère, au mois d'aout la chaleur était facilement forte en Floride, devenant presque insupportable pour elle. Pour son bien être, elle ne sortait plus, restant dans la pénombre toute la journée, profitant de ses vacances avec mon père, une fois le soleil couché. Heureusement pour elle, j’avais décidé d’abréger ses souffrances inutiles en décidant de sortir voir le monde… Cela faisait quelques heures que ma mère était prise de contractions, toutes plus rapprochées les unes que les autres et devenant plus fortes à chaque instants, mes parents comprenaient que mon arrivée était proche et restés sur leur garde, prêts à partir pour l’hôpital à chaque minutes, d’ailleurs pour être plus rapide, mon père avait déjà rangé la valise contenant mes affaires et celle de ma mère dans le coffre de la voiture.. Il avait promit à sa femme de ne pas paniquer lorsque serait venu le moment pour elle d’accoucher et jusque là il remplissait son contrat à merveille, chose qui rassurait ma mère qui n’avait absolument pas peur. « Tout se passera bien, j'en suis sure. » Voila la réponse qu’elle donnée aux personnes qui lui demandaient si elle redoutée ce jour si particulier. Allongée sur le canapé à regarder son téléfilm préféré ma mère fut surprise quant elle sentit en dessous d’elle, quelque chose d’humide, se relevant doucement avec beaucoup de mal, elle remarqua alors que la poche des eaux venaient de se craquer ; le travail avait commencé et il était l’heure pour elle de filer à la maternité si elle ne voulait pas que je naisse dans mon salon. « Chéri... j'ai perdu les eaux.. » Se fut à ce moment là que mon père commença à avoir peur, comme à son habitude il commença à raconter tout et n’importe quoi, voulant détendre l’atmosphère avec des plaisanteries qui ne faisaient rire que lui mais qui avaient plus ou moins le don de le calmer. « Oh non mon cœur, c’est du cuir le canapé ! » Avec la douleur, ma mère l’avait fusillé du regard, s’il savait ce qu’elle en avait à faire de son canapé, j’étais entrain de lui déchirer la paroi abdominale et pour le moment sa seule préoccupation était d’en finir avec cette horrible douleur. « Je m’en fiche de ton canapé ! Je vais accoucher ! » S’excusant pour son humour, mon père attrapa doucement sa femme, l'emmenant dans la voiture, direction la maternité de Miami ! Je crois que jamais mon père n’avait conduit aussi vite de sa vite, prenant presque des risques juste pour gagner quelques minutes de plus. En arrivant la bas, le travail avait déjà bien commencé et il ne restait à ma mère qu’à faire un petit effort pour me sortir de là; tout le monde s’était hâté autour d’elle, la conduisant en salle d’accouchement, la préparant, préparant mon père qui avait tenu à assister à ma naissance. De dehors on pouvait entendre les cris de douleur de la future maman et de l’intérieur on pouvait voir les larmes couler le long de ses joues, la sueur perler sur son front et la grimace de mon père quant elle venait à lui broyer les os de la main…« Un dernier effort Madame Keller, c’est bientôt fini. Poussez. » Poussant une dernière fois le plus qu’elle le pouvait, on entendit alors mes pleures, nous étions le quatre août mille neuf cent quatre-vingt quatorze à seize heures quarante-cinq et pour la première fois mes parents entendirent le son « de ma voix ». « Le papa souhaite t-il couper le cordon ? » Il ne fallut pas lui répéter deux fois, aussitôt il se leva et coupa le cordon en suivant les instructions de la sage femme qui partie ensuite dans la pièce voisine, avant que mon père ne revienne auprès de ma mère, épuisée par ces quelques heures. « Tu peux être fière mon cœur, notre petite fille est magnifique. » A ces mots la porte s’ouvrit, laissant apparaitre la sage femme avec un petit être dans ses bras, me posant sur ma mère, celle-ci fondit en larme, toute la pression qu’elle avait accumulé cette journée était enfin dissipée et la plus belle chose qu’elle attendait depuis neuf mois était enfin là. « Bienvenue sur terre, Aaliyah Olympe Keller… Tu es magnifique mon ange.. » Voila mon prénom était enfin révélé : Aaliyah.

CHAPTER TWO : Fais un voeux.

Nous vivons tous des moments de bonheur, de tristesse et de drame. Jamais je n'aurai imaginé vivre une chose aussi horrible à l'âge de six ans... Comme tous les soirs, ma mère était venue me récupérer à la sortie de l'école, mon père travaillait tard presque tous les jours et nous avions pris l'habitude d'allées faire une tour au parc avant de prendre le métro pour rentrer chez nous. Ce soir là, ma mère et moi étions restées un peu plus longtemps au parc, un fois lassée de faire de la balançoire, nous partîmes toutes les deux faire la station de métro qui se trouvée au coin de la rue; celle-ci comme toujours étant vide. Alors que je jouai trop près du bord, ma mère me rappela très vite à l'ordre. « Aly recules du bord, tu pourrais tomber. » Faisant la sourde oreille, je continuais à rester proche du bord, chose qui agaça d'avantage ma mère qui ne supportée pas que je puisse lui tenir tête. « Aaliyah une fois. A trois, tu sais ce qu'il t'attend. » Soupirant doucement, je terminai par me résoudre à lui obéir, allant juste à côté d'elle avant que deux jeunes hommes arrivèrent dans la station. Dès que mon regard se posa sur eux, j'eus la chair de poule, me collant d'avantage contre ma mère, celle-ci les regardant sans rien dire avant que l'un deux ne lui demande l'heure. « I'est quelle heure m'dame s'il vous plait? » Levant sa manche, ma mère ajouta simplement. « Dix neuf heures trente. » A partir de ce moment là, tout s’enchaîna à une vitesse déconcertante, les deux hommes nous regardèrent avec un sourire narquois et méprisant puis leurs visages devinrent effrayants, je me mis à hurler de peur tandis que l'un deux se mit à mordre ma mère avant que l'autre ne lui arrache le coeur hors de la poitrine. « Maman!! Non!! Au secours!! » Me réfugiant derrière les sièges, je tenais ma mètre entre les mains, priant pour qu'ils me laissant en vie; je les vois encore s'avancer vers moi avant de prendre la fuite sans l'emprise d'une violente douleur à la tête. C'est moi qui venais de faire ça? Seule avec le corps sans vie de ma mère, je m'étais agenouillée à ses côtés tout en pleurant, hurlant que l'on vienne m'aider. Face à la scène, les policiers conclurent à un meurtre non élucidé mais je savais que cela n'avait rien de naturel. Il me suffisait de fermer les yeux pour voir leurs crocs et leurs visages terrifiants...

CHAPTER THREE : Et si la magie était parmi nous?.

En grandissant, je me suis mise à fouiller dans les histoires de ma famille, je voulais savoir pourquoi j’étais toujours en vie et surtout comment j’étais parvenue à les faire fuir. Questionnant mes proches, mon père fut le moins bavard, il détestait que je parle de tout ça, cela lui rappelant à chaque fois de très mauvais souvenirs; c’est ma tante qui vint à me parler, me racontant l’histoire de notre famille et surtout notre soit disant lignée de sorcières puissantes. Nous, des sorcières? Je m’étais mise à lui rire au nez quand elle vint à me parler de ça, les sorcières ce n’étaient que dans les histoires fantastiques ou dans les séries télévisées mais pas dans la réalité. M’aidant dans mes recherches, elle me montra le fameux grimoire familiale, je n’en revenais pas… Il y avait des centaines de pages avec des sorts et des incantations; alors c’était ça ma nature? J’étais une…une sorcière? J’avais dû lui promettre de garder le secret, ne devant parler à personne de magie ou de sorcellerie.. Avec le temps, je m’étais plongée dans ce grimoire, apprenant par moi-même à m’utiliser de mes pouvoirs, voulant m’en servir afin de venger la mort de ma mère et afin de protéger les innocents. Les deux hommes qui avaient assassiné ma mère étaient en réalité des vampires et même si j’avais eu du mal à y croire, j’avais fini par me faire à l’idée que le surnaturel était parmi nous au quotidien.

A l’âge de treize ans, décida de déménager de Miami afin de s’installer dans une petite fille prénommée Mystic Falls, il était avocat et avait voulu créer un nouveau cabinet la bas. Je n’aimais pas être la petite nouvelle du coin, tout le monde se connaissait déjà, ayant pour la plus part grandit tous ensemble et j’arrivai comme ça, venue de nulle part; autant vous dire que l’intégration fut assez difficile.

CHAPTER FOUR : Aujourd'hui.

Aujourd’hui, j’ai dix huit ans et j’ai enfin trouvé ma place à Mystic Falls, jamais je n’aurai pensé que cette petite fille puisse cacher autant de secrets mais face à tous les meurtres inexpliqués, les attaques animales, j’ai vite compris qu’ici aussi et sans plus doute plus qu’à Miami, les vampires étaient présents. Je n’ai pas encore trouvé les auteurs du meurtre de ma mère mais je suis convaincue qu’un jour ou l’autre, ils croiseront ma route…