Bonjour à tous, il restes des rôles de la série à prendre. N'hésitez pas à privilégier les sorcières, loups-garous, humains. Les VAMPIRES sont en grand nombre sur le forum, merci d'éviter de les privilégier. |
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| You Only Live Once. {Debra} | |
| Auteur | Message |
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Fiche : son histoire.
Liens : ses relations.
✖ TU AS POSTÉ : 42 ✖ AGE DU PERSONNAGE : 539 ans ✖ STATUT CIVIL : Célibataire ✖ PASSE-TEMPS : propriétaire de plusieurs clubs élitistes à travers le monde et de plusieurs réseaux de prostitution dans les pays de l'est ✖ CÉLÉBRITÉ : Ed Westwick | Sujet: You Only Live Once. {Debra} Mer 29 Fév - 22:23 | |
| Others they seem so very nice nice nice nice nice oh oh. Club de Striptease. Fallait-il réellement décrire à quoi ressemblait cet endroit de décadence absolue que ces derniers siècles avaient apporté à la civilisation ? La sensualité brûlante qui s'exilait de ce marché des sens, mais surtout du sexe brutal et brumeux d'une imagination trop fertile, brimée par ces règles de l'interdit ? Il fallait reconnaître qu’il était agréable de s'y trouver, et que certaines filles valaient plus qu'une seconde égarée, qu'une œillade délaissée. Samuel en avait d’ailleurs repéré une qu’il aurait aimé dépêcher pour l’un de ses propres clubs. Chaque fois qu’il venait, c’était pour tenter de discuter finances tout en profitant de la vue, mais la donzelle semblait avoir une autre vision de l’avenir… Ce soir par contre, elle se révélait être aux abonnés absents, mais cela ne voulait pas dire qu’il n’y avait pas deux ou trois donzelles à observer. L’argent possédait toujours ce pouvoir ensorcelant d’étreindre les esprits les plus faibles, les billets verts semblaient hypnotiser, briser les plus impitoyables volontés en faveur d’une passation de propriétaire. L’oppressante sensualité de la jeune femme qui dansait, frôlant le corps de Samuel sous l’opulente noirceur de la pièce, était exquise, bien qu'un peu trop vulgaire. La musique semblait vouloir se glisser sous chaque parcelle de chair étourdie dans ces lieux de perdition. Et celle que le rythme rendait de plus en plus charnelle avec le client dont elle ne se serait jamais méfiée, ne semblait pas trouver son métier des plus désagréables à cette funeste et incisive seconde où elle croisa son regard une fois de trop. Les règles, il les connaissait, l’on ne touchait que pour glisser un nouveau billet. Elles n’étaient pas des prostituées, les proies favorites d’un éventreur ayant encore tant et si bien marqué les esprits, sublimant par son incapacité à masquer ses carnages, bien d’autres monstres. Se redressant légèrement comme pour parvenir à ses lèvres, il la vit s’éclipser d’un sourire joueur. Agaçante petite souris… « Embrasse-moi. » souffla-t-il alors en revenant s’adosser négligemment, son regard acéré ponctuant ses paroles, son timbre profond et rocailleux enveloppant l’hypnose d’une pulsation malsaine de pupilles. Les lèvres mortelles vinrent chercher les siennes, l’embrassant avec fougue, sans qu’il ne l’effleure, ne la touche, ne l’ébauche de la plus infime caresse en provenance de ses doigts. Il sentit la pression sur son bas-ventre se faire plus lascive, moins joueuse, plus expressive. Et de cela, il n’était nullement responsable. Et personne ne vint lui faire la moindre remarque, ni le videur dont il avait déjà croisé le regard… ni le barman, ni nul être en vérité, qui en ces lieux auraient pu avoir le droit de lui en faire la moindre. Il avait de l’argent, mais c’était ce qu’il était qui rendait la situation plus pernicieuse, plus enjôleuse, et certainement plus malsaine. « Je termine dans une heure… » murmura la nymphe si peu vêtue, tandis qu’il laissait son visage s’égarer à même sa gorge, sa langue sinuant sur cette peau dont il goûtait la saveur avec une indécence redoutable. Qu’en était-il alors du besoin impérieux de planter ses crocs, d’apprécier la fragrance de ce sang dont il humait presque les effluves à l’image d’un vin capiteux ? « Je pensais à une danse privée, maintenant. » répondit-il à sa proposition. Ici, trop de contact semblerait parfaitement déplacé au fond, et Samuel ne se permettait plus d’esclandre fâcheux, même si le club était loin d’être bondé, les nouveaux clients pourraient poser problème. Lorsque la danseuse nocturne se redressa finalement, un sourire mesquin se dessina sur les lèvres du caïnite à la vision de l’apparition qui se profilait à l’horizon, le laissant détailler chaque parcelle de ses courbes. Peut-être était-ce un mal de l’avoir vu grandir, le temps n’était qu’une broutille insipide à ses yeux, et ses lèvres, ses doigts, sa personne toute entière se voulait joueuse ; il se retenait encore, comme s’il craignait de briser un outil trop précieux à ses yeux. « Une divinité en surpassant tant d’autres. » laissa-t-il planer de son timbre profond pour tout commentaire à la vision de cette sombre chevelure étourdie sur ses épaules. Sa sorcière, celle qu’il avait sauvée du haut de ses seize ans. Une coïncidence en réalité, mais qui lui avait grandement servie. Coïncidence également si elle se trouvait ici ? Bien sûr que non, Samuel n’était pas idiot, tant cette dernière lui rappelait ces divinités indoues à la colère brûlante et envieuse qui palpitait dans ces prunelles. Pourtant il ne fit aucun geste, laissant sa proie s'attarder à ses côtés, comme si elle craignait qu'il ne la suivrait pas. La réponse étant certainement positive, elle ne s'y trompait pas. I'll be waiting for you baby. |
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✖ TU AS POSTÉ : 19 ✖ AGE DU PERSONNAGE : 21 ans ✖ CÉLÉBRITÉ : Shay Mitchell. | Sujet: Re: You Only Live Once. {Debra} Sam 3 Mar - 18:46 | |
| | « Et si l'amour ne servait qu'a alliener la deprime, justifier la fornication et consolider l'orgasme ? » Les boîtes de stripteases ; lieux préférés des débauchés de la trempe de Samuel, quoique tout de même loin derrière les pubs ou autres bars encombrés de junkies se shootant dans les toilettes. Ainsi, les boîtes de ce genre, luxueuses et suintant la débauche étaient aussi les endroits préférés du jeune homme qui demeurait toujours de sortie. Ce soir la jeune femme s'était rendu au club de strip-tease dans un but bien précis : Samuel.
Douleur lancinante qui se propageait dans mes veines, tandis que mes phalanges blanchissaient soudainement. Fléau meurtrier, m'aveuglant en cet instant, que toutes autres paroles ne m'auraient effleuré. La jalousie est dévastatrice surtout lorsqu'elle vous atteint au moment où vous vous y attendez le moins. Serrant les poings, je fermais les yeux, me concentrant sur son image. Grosse erreur. La douleur se fit plus brûlante, tandis que j'imaginais toutes ses mains sales sur le corps de mon somptueux vampire. Elle ne pouvait la toucher, elle n'en avait pas le droit. Et pourtant, son corps se collait dangereusement contre celui de Samuel et ces lèvres venaient souillés ses lèvres tandis que sa main venait caresser son entre-jambe d’un air malin. Je la haïssais, elle n'avait pas le droit, ce plaisir lui était interdit. Et je l’ais voyaient au loin, sa danse se fait plus saccadée, ses déhanchés plus violents. Je ne les détaille néanmoins pas plus que cela : j'aime la luxure, et on m'attribue souvent le vice de la perversité, mais mater les autres faire leurs affaires ne m'excite pas franchement. Et je ne sais comment m’y prendre. Longtemps je m'étais demandé combien de temps encore je pourrais tenir le coup avant de craquer littéralement sous le poids de la jalousie dévorante et vénéneuse qui s'insinuait vicieusement en moi à chaque fois que je le croisais accompagnés de ses toutes dernières conquêtes. Ce serait donc pour ce soir que cette jalousie prendrait jour, cette maladie de l’esprit qui est celle à qui le plus de choses servent d'aliment et le moins de choses de remède. Effectivement, je ne voyais aucun remède face à ma jalousie dévorante contre Samuel ; le voir avec toutes ses garces qui lui tournent autour tel des vautours n’arrangent rien et le faite que je n’avais pas encore massacré l’une d’elle pouvait être qualifiée de miracle. Je voulais sentir l'oxygène quitter leurs poumons, encercler leur gorge, je voulais sentir leur trachée s'écraser et leur corps s'éteindre. Je voulais qu’elles meurent en souffrant. Ce n’était pas l’envie qui manquer mais j’avais une certaine appréhension face à la réaction que pouvait avoir Samuel. Et pourtant face à cette jalousie, je ne sais pas pourquoi j’agis ainsi ; pourquoi je suis hors de moi en le voyant face à toutes ses salopes qu’il côtoie. Je ne suis pas sa meuf, je ne suis pas son amie. Je suis juste sa sorcière. Je l’enviais, elle qui devait se souiller pour avoir un salaire, je l’enviais. Je l’enviais d’avoir un peu de son intérêt et de pouvoir être si proche de lui, je l’enviais de pouvoir sentir ses lèvres sur les siennes, je l’enviais de savoir que cette nuit elle le passera avec lui. C’est dans une rage monstrueuse que je m’approchais de lui et de l’autre catin qui s’en aucune gêne était installé sur les genoux de « son » Samuel.
SAMUEL - « Une divinité en surpassant tant d’autres. »
Un soupir inaudible et presque silencieux franchit la barrière de mes lèvres alors que je m'approchais de son être impassible et froid. Beaucoup plus près qu’il ne le fallait. Diablement trop près. Son parfum épicé me piquant, me fouettant. Je redécouvrais cette agitation au creux de mon estomac alors que dans un geste de suicide, j'avançais mes doigts de sa joue, l'effleurant du bout des doigts.
DEBRA – « Et cette divinité va devoir se trouver une proie pour la contenter cette nuit »
Je m’avance vers la piste vide et je me balance doucement, au grès de mes humeurs. Mes bras s’étirent, mes mains se joignent et mes hanches roulent avec élégance. J’ai fermé les yeux, mes mèches brunes parsemant mon visage, seule ma respiration se fait entendre. J’expire doucement, longuement, chaudement, et ma suffocation érotique semble être un art plus qu’un vice. Les néons verts de ce club désert éclairent mes traits avec violence et m’arrachent un sourire. Je ris aux éclats, révélant mes canines acérées. Mon bonheur carnassier se dessine sur mes lèvres rougies et mes doigts graciles descendent le long de ma silhouette pour retrousser le bord de ma robe excessivement courte, dévoilant un peu plus de mes jambes. Je me laisse tourner doucement, faisant face à Samuel, un bras toujours en l’air, qui doucement regagne ma chevelure, alors que tendrement je dévoile encore et encore mes cuisses. Un type s’est avancé, s’approchant de moi. Il est sans doute jeune, enfin, plus que les autres clients de cette boite. Il doit avoir la quarantaine, et son costar BCBG me donne la vision d’un homme marié, cadre actif et pourtant un peu lassé de cette vie monotone. Sans doute est-ce la raison de sa présence. Je n’hésite pas, altruiste, à lui donner ce qu’il attend, et le rejoins très vite. J’empoigne sa cravate fermement, avant de me laisser glisser le long de son corps, mes escarpins resplendissant de cette lueur émeraude qui inonde la pièce. Je me relève, laisse mon dos caresser son torse d’une manière plus que sexuelle, et ma joue vient se presser contre la sienne. Ma chevelure anthracite ne cesse de lui flatter le menton, et je le sens défaillir sous la puissance de mes assauts. Ma danse se fait plus saccadée, mes déhanchés plus violents. Face à Samuel, je veux lire colère et jalousie sur son visage et qu’il me sauve de cette décadence.
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