C'est l'histoire de ma vie !

- famille & déception -

« On choisit ses amis, pas sa famille... »

Un verre se brisa, et quelque part, dans la maison, le temps semblait brusquement s’arrêter. Retenant sa respiration, une main tenant fermement le meuble afin de se soutenir, la Douce gardait les yeux fermés, comme coupée d’un monde qui n’était plus sien. Ignorant les cris de sa mère juste à côté, exigeant qu’elle cesse immédiatement son jeu morbide. Insensible à son père qui l’avait soudainement empoignée pour la secouer, dans le seul but de la réveiller d’un sommeil qui n’en était pas un. Incapable de prendre le dessus, incapable de maîtriser les vagues d’images qui envahissaient son esprit, la jeune enfant semblait plus vulnérable que jamais en cet instant, sa fragilité apparente accentuée par la peur qui déformait les traits de son si doux visage. Trop jeune pour endurer ce genre de vision, trop sensible pour espérer s’en sortir indemne, son destin semblait déjà scellé d’avance, alors qu’elle n’était âgée que de dix ans. Du sang, des meurtres, des cris d’agonies capables de déchirer le cœur le plus froid, tels étaient le genre d’image qui troublerait à jamais l’esprit de la fillette. Un simple article dans le journal, et l’enfer s’ouvrait sous ses pieds, balayant son innocence sur son passage. Il en était ainsi depuis aussi longtemps qu’elle pouvait s’en souvenir, à un tel point que petite déjà, elle avait été vite qualifiée d’étrange. Depuis quelques temps, elle lui arrivait des choses étranges, elle pouvait déplacer des objets ou allumer la télévision à distance, il lui était difficile de comprendre réellement le sens de ses choses, si bien qu’elle avait longtemps mis ça sur le compte de la poisse. Mais à un moment, on ne peut pas ignorer la vérité bien longtemps. Et la vérité avait eu l’effet d’une bombe. La sorcellerie. Un don bénit des cieux pour certains, et apportant la malédiction pour les autres. Et dans le cas de sa famille, Debra ne pouvait qu’être possédée par Satan, ou avoir été maudite. Charly Williams y croyait dur comme fer, lui qui ne jurait que par sa religion. N’ayant qu’un seul et unique Dieu, il lui vouait un culte sans faille, accordant bien plus d’importance aux paroles de la Bible qu’aucun homme n’était capable de le faire. Une foi aveugle, tant il lui était impossible de douter de la parole divine. Une foi déraisonnable, tant il avait abandonné depuis longtemps déjà son propre libre arbitre. Mais surtout, une foi égoïste, tant il entrainait tout le monde dans son sillage, ne se souciant guère de ce que pouvait penser sa femme à ce sujet, ou même ce qu’il pouvait causer comme dégât. Alors pour lui, il n’y avait pas de doute possible, ce don était la marque du Diable, et il ne pouvait le tolérer dans sa demeure. Et s’il ne pouvait la mettre dehors, unique détail contre lequel sa femme osait s’interposer, il lui était physique impossible d’aimer cette enfant, qui ne pouvait être sienne. Il n’y avait rien de plus dangereux chez l’homme que l’ignorance, car elle conduisait à des actes irréfléchis, et des plus violents. Charly ne faisait pas exception à la règle. Il avait beau être bien plus cultivé que la plupart des autres hommes, il avait beau avoir une intelligence rare – lui permettait d’avoir un métier important-, il devenait ignorant et stupide devant ce qu’il ne connaissait pas, se réfugiant derrière la protection de la religion. Qu’il était ainsi facile de justifier ses actes et ses paroles cruels, au nom d’un Dieu qu’il vénérait. Dieu qu’il la haïssait, cette enfant aux yeux d’un noir impressionnant, et qui pourtant, lui ressemblait tant. Elle avait pris la douceur de sa mère, mais ces traits étaient les siens, il ne pouvait le nier. Et pour cela, il la détestait encore plus, si c’était possible. La secouant davantage, risquant par la même occasion de lui briser les os, il ne cherchait uniquement qu’à la sortir de sa transe, ne se préoccupant guère des hématomes qu’il lui laisserait plus tard. Ce n’était qu’une question de secondes, et aussi vite que cela avait commencé, la tendre enfant ouvrit les yeux, une lueur effrayée traversant ses pupilles comme elle posait son regard quelque peu perdu sur son père.

DEBRA : « Je suis désolée. »

Une voix douce et chantante, mais si faible que son chuchotement était à peine audible. Elle ressortait souvent très affaiblie de ses visions, ce qui était d’autant plus vrai que les images étaient violentes.

CHARLY : « Je t’ai pourtant interdit de pratiquer ce genre de chose dans ma maison ! » scanda Charly sur un ton haineux, soulignant chaque mot en la secouant un peu plus.
DEBRA: « Je suis désolée. » répéta-t-elle, grimaçant quelque peu.

La dévisageant quelques secondes, il finit par la repousser, le dégout s’affichant sur ses traits devenus si froid. S’il pouvait, il était fort à parier qu’il la tuerait de ses propres mains, dans le seul but d’expier le démon qui semblait l’habiter. Il était dans l’incapacité de comprendre, lui déjà qui reprochait à sa femme d’être une sorcière. Et dans sa bouche, ce simple mot résonnait rapidement comme une insulte dévalorisante, si bien qu’Ana avait appris à se passer de ses pouvoirs. Chose que sa propre famille ne parvenait à comprendre, mais il était dit que l’amour rend capable de bien des sacrifices. Posant le regard sur sa fille, son expression affichait un savant mélange de dégout et de douleur. Car elle était mieux placé que personne pour comprendre la situation, mais cela, elle préfèrerait mourir que de l’avouer. Ana arrivait à les duper, tous autant qu’ils étaient, et ce depuis des années. Tous, sauf elle, cet enfant dont la vérité brillait au fond de ses pupilles, possédant des dons. Et si ce pouvoir était capricieux, il y avait certaines choses qui ne pouvaient lui échapper. Des larmes commençaient à perler dans les yeux de l’ange, mais aucun mot ne paraissait vouloir franchir ses lèvres fines. Il en était ainsi depuis quelques temps, elle qui était si rayonnante, et qui d’ordinaire, respirait la joie de vivre, semblait se réfugier dans un mutisme rassurant. Et avec l’espoir que possédaient ceux de son âge, la tendre enfant planta son regard dans celui de sa mère, ne souhaitant obtenir qu’un peu de soutien.

ANA : « Je t’ai déjà dit d’oublier tout ça » répondit-elle d’un ton cassant à la question silencieuse de la fillette. « Tu peux redevenir normal, il suffit que tu le veuilles. »
DEBRA: « Comme toi, c’est cela ? »

Des mots pleins d’assurance, contrastant grandement avec son air et son comportement. Si jeune, et pourtant, Debra ne mâchait jamais ses mots, allant droit au but. Si sa franchise pouvait parfois déplaire, cela la rendant d’autant plus honnête, comme elle était incapable de mentir.

ANA : « Ne parles pas de ce que tu ne connais pas. Tu ne peux pas comprendre. »
DEBRA : « Je ne suis pas comme toi, cela fait parti de moi, et cela fait parti de toi aussi. »

L’ange n’avait pas fini sa phrase, que déjà, la claque atteignit sa joue, laissant une marque cuisante, comme sa mère sortait de la pièce. C’était la limite à ne pas franchir, tant la honte était constamment présente dans l’esprit de sa mère. Enfant damnée, dont la lumière semblait s’éloigner jour après jour.

- son sourire entraina ma haine -

« Et la première goutte perça dans mon ciel chaotique. »

« J’sais pas où je suis, je suis tombé en panne et… Allo ? Allo ? » Elle regardait son téléphone avant de soupiré « évidemment y’a pas de réseau dans ce bled paumé ! » Elle marchait alors en lâchant un léger cri signe de son mécontentement, sans même se douter que non loin de là, des paires de yeux l’observaient. Elle avançait dans cette forêt à l’inconnu, brandissant son téléphone vers le ciel pour espérer capter du réseau avant de finalement revenir sur ses pas, marchant à reculons, elle trébuchait sur un bout de bois. Elle entendait alors un léger grognement dans ce silence si pesant, et elle n’eut pas le temps de se relever ni même de tourner la tête pour apercevoir son agresseur qu’elle se sentait encerclé par un groupe d’homme. La silhouette en face d'elle se rapprochait, et la faible lueur de la lune indiquait à la jeune fille qu’il s’agissait d’un jeune homme et qui ne semblait pas dans son état normal, transpirant l’alcool et l’haleine puant le trouble et le désir.

INCONNU : « Une brebis égarée… Comme c’est amusant. Attention à toi, un loup pourrait bien te dévorer tu sais ? » On pouvait entendre les ricanements de son groupe ami et l'homme qui se rapprochait dangereusement de Debra. « Tu sais, je pourrai te montrer ce que c’est qu’un homme, un vrai… Viens donc là.» Une gifle, une seule, mais celle de trop peut-être, Debra aurait du savoir que c’était ce genre d’attitude qui pouvait facilement énerver une personne, plus encore lorsqu’il s’agissait d’un jeune homme soule. Nulle issue pour qu’elle puisse échapper au jeune ténébreux, pas un chat pour la sortir de ce piège sans fin, cette spirale infernale… Et déjà elle semblait savoir ce qui l’attendait : menaces explicites, caresses blasphématrices, baisers affolants. Il n’y avait pas un geste, pas une parole qu’il n’ait envers elle qui ne soit faite autrement que pour l’effrayer, pour l’affoler… Il ne parvenait pourtant pas encore à la faire peur, mais cela ne saurait tarder ; ne voyant aucune échappatoire à sa souffrance. « Et bien soit, ma princesse, si tu ne veux pas voir qu'est-ce qu'un vrai homme ...» Elle sembla se décontracter un instant, un court instant qui ne dura pas pourtant, dès lors qu’elle sentit sa main se poser sur la sienne, dans une caresse douce et légère, avant de redescendre jusqu’à sa cuisse dénudée, frôlement qui la fit se raidir aussitôt tandis que son regard se reportait sur lui, ne cachant pas cette mine affolée et apeurée, avant de lui ôter cette main ô combien infidèle et de s'éloigner rapidement de lui.« Je devrais donc te forcer » Mais, il n'y avait aucun échappatoire à ce piège et fut stopper bien vite par un des enfoirées. Cherchant une faille à ce cercle, elle voyait s'échapper et courir loin de ces hommes ; elle ne voulait plus sentir leur attouchement sur son corps ni entendre leurs ricanements face à sa détresse. Elle voulait qu'ils partent et qu'il la laisse. « Va te faire foutre ! » S’en suivit une légère altercation ainsi qu’une fuite, durant laquelle Debra se permit d’échapper à ce tyran et à sa meute.

Boum Boum Boum. Les pulsations s'accéléraient. Combien de temps ma course avait-elle durée ? De plus en plus rapidement, mon coeur se lançait dans une danse folle et sourde dans ma poitrine, couvrant mon souffle qui s'épuisait de la distance déjà parcourue. Boum Boum Boum. Était-ce suffisant ? Mes tempes devenaient douloureuses sous la pression du sang. Tendus, comprimés sous l'effort, mes muscles hurlaient, menaçant de céder sous moi d'une seconde à l'autre. Risquant un regard dans mon dos, la boule qui compressait ma poitrine se détendit quelque peu... la forêt derrière moi était déserte, balayé par quelques bourrasques de vent... aucun bruit... seul le vrillement de mon sang retentissait... Mes foulées continuèrent d'elle même durant quelques dizaines de mètres encore, au bout desquelles, épuisé, je finis par m'effondrer à même la terre boueuses. « Tu n'aurais pas dû nous faire courir » Ils étaient là derrière elle, certains en mauvaise posture à moitié affalé au sol dû à la course poursuite. Je voulais lui craché à la face, lui hurler de me laisser tranquille. Mais un léger bruit me fit relever la tête. Un homme était là face à elle, la nuque de son agresseur fermement calée par la mien du mystérieux jeune homme. Les yeux de l'inconnue n'étaient que deux rubis étincelants dans la nuit, brûlant d'une faim inexplicable. Croisant mon regard, elle me sourit, révélant des dents parfaites, aussi pâle que l'ivoire le plus pure. Puis un hurlement terrible fendit le voile de la nuit à l'instant même où ses dents pénétrèrent la chair de mon agresseur. En quelques seconde, le corps de son agresseur reposait mollement quelques mètres plus loin ainsi que son groupe d'amis. Je savais ce qu'il était, mon paternel l'aurait surnommé Satan ou encore créature de la nuit, moi je le nommerais vampire. Il s'approcha de moi d'une démarche féline, je n'avais pas peur et ne pensais pas à m'enfuir, celui aurait servit à quoi puisque même avec de simple humain je n'avais pus fuir bien loin. A ce moment précis, le regard qui me croisait n'était plus celui que j'avais vu quelques minutes plus tôt, ses magnifiques yeux safrans planté dans les miens. Durant ces quelques instants je ne pouvais que m'émerveiller de la pureté de son visage, de la sincérité de ses traits, oubliant tout ce qui m'entourait je ne voyais plus que lui et le toucher de son regard sombre « Pars et oublie tout ce qui vient de ce passer.» Ses mots me frappèrent comme une masse quand je compris le sens de ses paroles. Je savais ce qu'il était entrain de faire ou plutôt essayer mais l'hypnose ne fonctionne pas puisque j'utilisais de la verveine depuis un moment. « Non ! Je pourrais te servir et t'aider dans ta renommée, dans ton ambition de pouvoir grâce à mes pouvoir. Je veux que tu m’emmène avec toi. » S'il l'on m'avait dit par le passé que de simples paroles pouvaient bouleverser à jamais le cours d'une vie, vraisemblablement jusqu'à ce jour je ne l'avais jamais cru. Un seul mot... Par le pouvoir d'un unique mot mon existence dans son intégralité semblait remise en question, comme stoppée à l'endroit précis ou se mêlait indistinctement présent et futur. Quand on connait quelque chose uniquement pour l'avoir rêver, il en est d'une tout autre nature le jour où elle se concrétise. Cette réponse je l'espérais tout autant que je redoutais la signification qu'elle pourrait prendre. Tel un nuage vaporeux que l'on n'ose saisir de peur qu'il s'évente au moment de refermer dessus ses doigts ; Je craignais de le prendre tel qu'il m'apparaissait. Je me figurais un songe éveillé dans lequel une partie des entraves qui m'emprisonnaient sur cette terre avait soudain cédées, m'offrant une vision de l'avenir d'où l'espoir était enfin parvenu à déchirer la sombre trame qui s'y perpétrait depuis toujours. « Suis moi. »

- do you love me ? -

« ok, maybe i'm being a little paranoid »

Je les regardais, au loin. Dévorée par la jalousie, folie meurtrière qui s'emparait de moi dès que ses mains sales venaient caresser son corps si parfait, somptueuse beauté dont je n'avais hérité. Mes ongles griffaient avec violence le pilier de marbre qui me servait de refuge tandis que son rire de crécelle résonnait dans la spontueuse maison de Samuel. Samuel Henry Mac Garrett profité du corps de cette sombre ignare de Kaileigh Erin Grinderwald ; petite idiote que se croyait tout permis de part son nom si connu à travers l'Angleterre. Elle avait enserré Samuel dans ses filets épineux et se l'était approprié. Garce. Je serrais les dents, essayant d'ignorer la haine qui se propageait en moi, tandis que ses sales mains se promener dans son dos. Je ne supportais pas qu'elle le touche. Son corps si parfait comme piégé dans les griffes de cette hyène. Elle n'était qu'une charogne qui posait ses lèvres sur celles, si douces, de mon Samuel. Adossé contre le mur, je ne pouvais empêcher mon regard de se poser sur les deux amants. Pourquoi avait-il fallu qu'il s'amourache de cette garce ! Cela ne comptait pas vraiment à ses yeux, c'était juste une conquête de plus, mais une conquête qui me tapait sur les nerfs. Serrant les poings jusqu'à ce que mes phalanges deviennent encore plus pales qu'à l'accoutumer, je détournai mon regard, essayant d'oublier sa bouche sur la sienne. J'inspirais lentement, tentant de calmer l'incendie qui se propageait dans tout mon corps, tentant de retenir la pulsion meurtrière qui me poussait à lui lancer un fabuleux sort pour la voir morte au pied de ce cher Samuel. La petite garce l'embrassa, laissant courir ses mains le long des ses côtés, de ses reins jusqu'à venir effleurer ses lèvres avant de rire comme une idiote. Serrant les poings, je relevais les yeux vers le couple qui se séparait doucement pour reprendre leur souffle. Samuel comprendrait mes raisons. Ces raisons qui me pousseraient à briser son "petit couple", ces raisons qui me forceraient à détruire cette garce, simple amant de passage. Mais oh que je la haïssais. Tout comme les autres.
Tandis qu'elle s'en allait dans un dernier baiser, je m'approchais de Samuel, un sourire sincère aux lèvres, un sourire rempli de sarcasme.

DEBRA — « Au cas où tu ne lui aurais pas dit, on t'as enlevé les amygdales. Elle avait l'air de les chercher, il faudrait penser à lui dire que c'est une quête perdue d'avance .. » ironisais-je.

Samuel fit volte-face et m'adressa un sourire avant de venir m'embrasser au coin des lèvres. Je ne pus réprimer un sourire et fermais les yeux tandis que ses fins doigts vinrent caresser ma joue. Je me ressaisis et le repoussais avant de m'essuyer la bouche.

DEBRA — « J'aimerai que tu ne me fasses pas partager la bave de cette garce, oh pardon, de ta chère et tendre. »

Samuel explosa de rire en se rapprochant de moi.

SAMUEL — « Ta jalousie finira par te détruire. »
DEBRA — « Jalousie ? Je pense que tu te méprends Samuel. »

Bienvenue parmi nous
Shay super choix
Bonne chance pour ta fiche and have fun

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche
Et merci de ton inscription aussi ^^

Merci les miss
Katerina Graham est splendide sur ton avatar !

Merci, j'essaye de finir ça au plus vite.

Bienvenuuue
Bon courage pour ta fiche

Merci & j'ai hâte de faire ma vilaine avec toi

Bienvenue !
Très bon choix d'avatar ! ♥

Shay (a) Bienvenue parmi nous !

J'aime ton titre

welcome (a) shay
bonne chance pour ta fiche.

Bienvenue sur le forum

Merci pour l'accueil & je termine très vite j'ai déjà hâte de rp avec vouuuus !

Debra L. Williams a écrit:

Merci & j'ai hâte de faire ma vilaine avec toi

Et j'ai hâte que tu le sois

HERMES DE MON COEUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUR

SAVY DE MON CŒUR
Tu sais que même poilu & avec quelque chose qui dépasse t'es sex ?

Je saiiiiiiiiiiiiiiis
Et toi tu sais que même avec des seins, j'ai envie de t'arracher des fringues dans les toilettes d'une boite ou dans les vestiaires d'un gymnase ?

Bienvenue

Stefan
Arthur, je ne demande que ça

Bienvenue !!

Bon choix de vava ^^

Et bonne chance pour ta fiche !

Merci

Merci
Et voilà j'ai finis ma fiche (: